Les autorités algériennes maintiennent la politique d’interdiction d’importation des véhicules neufs instaurée depuis 2016.
En dépit de l’introduction d’un droit additionnel provisoire de sauvegarde (DAPS), initié par le ministère du Commerce, le régime de restriction à l’importation demeurera en vigueur pour quatre produits, notamment les ciments, tracteurs agricoles et véhicules.
Dans un premier temps, l’État avait soumis le marché de l’automobile aux licences d’importation avant de l’interdire carrément pour reduire la facture des importations et encourager l’industrie locale avec des avantages fiscaux pour les investisseurs.
Une politique qui ne satisfait pas tout le monde pour le moment